Le réseau social X.com a pour ambition d'offrir de nombreux services à l'avenir, dont celui de passer des appels. Un objectif qui commence à se réaliser.
Tesla, Space X et enfin X.com (anciennement Twitter), le milliardaire Elon Musk s'offre tout. Celui qui, en 2020, affirmait que « la possession ne fait que t'alourdir » aurait jeté son dévolu sur la firme d'un de ses ennemis jurés : le P.-D.G. de Disney.
X.com change de braquet sur la question de la modération. La plateforme veut dorénavant recruter du personnel pour modérer le contenu.
Il n'est plus possible d'effectuer une recherche « Taylor Swift » sur X.com. Le réseau social a pris cette mesure après le scandale des deepfakes pornographiques.
Le réseau social X.com doit subir un nouvel assaut, avec une plainte déposée par une association autrichienne.
Anne Hidalgo vient de poster sur X.com un long message dans lequel elle fait ses adieux amers à la plateforme.
Elon Musk a effectué un voyage en Israël pour y manifester sa sympathie pour la population après le 7 octobre 2023. Il y a aussi fait des annonces.
Elon Musk vient d'annoncer qu'une partie des revenus générés dernièrement par X.com serait distribuée en Israël et en Palestine pour financer l'aide humanitaire.
Le tout nouveau chatbot Grok annoncé par Elon Musk pour X.com a déjà inspiré de nombreux escrocs.
X.com affiche des ambitions toujours plus énormes, avec cette fois la volonté de devenir, aussi, une banque en ligne !
X.com connaît des temps difficiles dernièrement, avec notamment un mois de septembre catastrophique au niveau de la fréquentation.
Elon Musk vient d'annoncer sur son réseau X.com la mise en place de deux nouveaux types d'abonnement.
Un nouveau format publicitaire énigmatique a fait son apparition sur X.com sans prévenir. Un phénomène qui n'a pas manqué de faire réagir ses utilisateurs sur la transparence de la plateforme.
X.com devrait voir le nombre d'abonnements différents croître à l'avenir, avec un l'un d'eux garanti sans publicités.
Elon Musk est de plus en plus mis sous pression pour venir directement répondre aux questions de la Securities and Exchange Commission (SEC) sur le dossier X.com (Twitter).
X.com (anciennement Twitter) n'en finit pas de changer, avec une modification majeure apportée à l'affichage des liens.
Comme à chaque fois qu'Elon Musk ou un des dirigeants de X.com prend la parole, c'est pour annoncer un futur radieux et rempli de promesses pour l'entreprise.
Apparemment, Elon Musk a réussi à éradiquer les fake news.
X.com (ex-Twitter) a décidé de mettre fin à la fonctionnalité destinée à la confidentialité des utilisateurs, les Cercles.
Meta continue de peaufiner son application Threads, avec bientôt une nouvelle fonctionnalité très demandée.
Elon Musk a assisté en compagnie d'autres grands dirigeants de la tech à une réunion à Washington à l'issue de laquelle il a lancé un appel.
X.com (Twitter) a une nouvelle ambition, semble-t-il. Celle de récolter le plus d'informations possibles sur ses utilisateurs !
Elon Musk continue de remanier Twitter à sa guise et à annoncer de nouvelles fonctionnalités pour le réseau social, renommé « X.com » il y a quelques semaines. On apprend aujourd'hui que l'homme d'affaires aimerait en faire un concurrent de LinkedIn… le réseau social professionnel de Microsoft.
Le rebranding de Twitter continue, et après avoir rebaptisé le réseau en X.com, voilà que les équipes d'Elon Musk revisitent l'outil TweetDeck.
Le rappeur, qui se fait désormais appeler Ye, avait été banni pour des propos antisémites à la fin de l'année 2022. Alors pourquoi ce retour au moment même où le réseau social vient de changer d'identité ?
Le nouveau nom de Twitter n'a pas été sorti d'un chapeau magique par Elon Musk. En vérité, la lettre X et le milliardaire sud-africain entretiennent une relation très particulière, presque obsessionnelle, depuis plus de deux décennies.
Depuis la prise de commandes de Twitter, Elon Musk a procédé à de très (trop) nombreux changements concernant le réseau social.
Nouvelle polémique en vue pour X.com (Twitter) ? Le réseau social placerait des publicités de grands groupes sur des comptes à l'idéologie néonazie.