Et ce serait aux géants du net de mettre la main à la poche.
Le Parlement allemand a adopté une nouvelle mesure pour renforcer sa loi sur les contenus haineux en ligne. Désormais, les réseaux sociaux vont devoir envoyer les données personnelles des auteurs de propos haineux à la police fédérale du pays. Une décision qui inquiète les défenseurs des libertés civiles…
Google souhaitait faire annuler la délibération ayant engendré une amende de 50 millions de dollars en France. La plus haute juridiction administrative du pays a rejeté le recours du géant américain, qui devra donc bien passer à la caisse.
L'autorité administrative indépendante appelle à la vigilance face à l'utilisation croissante potentielle des nouveaux dispositifs vidéo, sollicités dans le cadre de la crise sanitaire.
L'institution française considère que la loi porte atteinte à la liberté d'expression. Celle-ci avait été adoptée par l'Assemblée nationale, le 13 mai dernier.
Un temps ouverts à l'éventualité d'une taxation mondiale discutée au sein de l'OCDE, les États-Unis ont décidé de faire volte-face. Non sans irriter Bruno Le Maire, qui évoque « une provocation ».
La reprise progressive de l'activité donne des ailes à la Commission européenne, qui a lancé deux procédures distinctes contre Apple, l'une concernant sa boutique d'applications, l'autre sur son service de paiement mobile.
L'application StopCovid transférerait tous les contacts rencontrés par une personne déclarée positive au coronavirus, peu importe la distance et le temps passé entre les deux contacts.
L'Europe est en train de multiplier les applications de type StopCovid, qui utilisent le contact tracing pour déterminer si une personne a été en contact avec un porteur de la maladie COVID-19. Outre la France, l'Allemagne et l'Italie disposent aussi de leur propre application.
L'UE avait lancé, il y a deux ans, une enquête sur le géant du e-commerce pour de prétendues pratiques anticoncurrentielles. La voici désormais prête à passer à la vitesse supérieure.
En janvier, Sonos a annoncé poursuivre Google en justice. L'entreprise connue pour ses enceintes connectées estime que le géant américain a copié sa technologie.
Le gendarme français des données a publié, mardi, son rapport annuel en révélant avoir reçu plus de 14 000 plaintes l'an dernier, un chiffre en nette augmentation par rapport à 2018.
L'American Civil Liberties Union (ACLU), une importante association à but non lucratif américaine a annoncé poursuivre la ville de Los Angeles. Celle-ci exige que les sociétés de location de trottinettes électriques fournissent des données de localisation anonymisées en temps réel.
Le ministre de l'Économie et des Finances a réaffirmé, mercredi, son intention de ne pas abandonner son idée de taxe mondiale sur les géants du numérique.
TVSmiles, une application mobile basée à Berlin proposant de gagner de la monnaie numérique, a montré un manquement à la sécurité des données personnelles de ses utilisateurs.
Une base de données MongoDB, hébergée sur un serveur non protégé, a provoqué la fuite de 1,4 million de dossiers d'utilisateurs, dont ceux de jeunes bénévoles.
Cette consultation a lieu dans le cadre de la rédaction du Digital Services Act, un ensemble de règles permettant d'encadrer les pratiques des GAFAM notamment en matière de lutte contre les fake news.
Une enquête vient d’être ouverte, et pourrait donner lieu à des tarifs douaniers ciblant les pays concernés.
Le groupe confirme son savoir-faire en matière de numérique en proposant la création, entièrement gratuite, d'une identité électronique sécurisée en ligne, grâce à un service de lettre recommandée digitalisée.
Le gouvernement souhaitant faire preuve de transparence, tout un chacun pourra vérifier que l'application n'est pas une boite noire de l'État.
La présidente de la commission, Marie-Laure Denis, était auditionnée mardi par les députés. L'occasion pour la dirigeante de détailler la façon dont l'autorité administrative indépendante appréhendera l'application de contact tracing.
Interviewé ce matin par BFM Business, le secrétaire d’État chargé du numérique Cédric O annonce que le gouvernement et son application StopCovid « seront prêts » pour l’échéance du 2 juin.
Les tests finaux de l'application mobile de contact tracing pourraient démarrer en même temps que le déconfinement.
L'application de contact tracing tant attendue, qui devrait être disponible au grand public le 2 juin, s'est dévoilée en images ce lundi.
La commission considère que l'application respecte la protection des données, et ce dès sa conception. Désormais, il ne reste plus qu'à franchir l'étape du vote parlementaire pour valider son lancement définitif.
Les députés, après un débat particulièrement houleux en fin de séance, ont voté en faveur du déploiement de l'outil, mercredi, qui sera mis à disposition des utilisateurs dans les prochains jours.
Baptisée « Federated analytics », cette méthode permet d'assurer la confidentialité des données analysées.
Les données seront collectées, traitées et vendues aux entreprises publiques chargée de l’entretien des infrastructures routières.
Le Règlement général sur la protection des données est applicable depuis le 25 mai 2018. Sa deuxième année d'exploitation fut l'occasion d'affirmer sa notoriété.