Le taïwanais Asus prépare le lancement d'un modèle baptisé EN9400GT/HTP/1G et qui se présente comme une GeForce 9400GT équipée de 1 Go de mémoire vidéo cadencée à 800 MHz. Le GPU adopte quant à lui une fréquence de 550 MHz, alors que les 16 processeurs de flux tournent à 1375 MHz. Avec une interface PCI-Express 2.0, la présence du moteur de décompression vidéo PureVideo HD de nVidia et la prise en charge de DirectX 10, la GeForce 9400GT offre vraisemblablement des prestations correctes au regard de son positionnement tarifaire, situé aux alentours de 50 euros. Reste une question de taille : est-il vraiment pertinent pour l'utilisateur d'acheter un GPU de ce type accompagné de 1 Go de mémoire vidéo, ou une telle quantité ne relève-t-elle que du marketing pur et simple ? La carte d'Asus devrait faire son entrée sur le marché dans le courant du mois de septembre.
Expreview révèle cette semaine ce qui pourrait constituer les caractéristiques techniques des futures Radeon HD 4550 d'AMD, des cartes graphiques d'entrée de gamme, dont le prix devrait se situer entre 40 et 60 dollars, en fonction de la quantité de mémoire vidéo embarquée. Alors que les Radeon HD 4650 et 4670 viennent tout juste d'être lancées, AMD introduirait avec les 4550 une révision à la baisse, au sein de la quelle le nombre de d'unités de traitement des shaders serait ramené de 320 à 80, sur une interface mémoire 64 bits. On parle par ailleurs d'une puce composée de 240 millions de transistors, avec un GPU cadencé à 600 MHz et une mémoire vidéo affichant en standard une fréquence de 800 MHz.
Au mois de juillet dernier, le fabricant de cartes graphiques NVIDIA a envoyé un document à la Commission des titres financiers et des bourses dans lequel il est stipulé que la compagnie a observé des anomalies particulièrement nombreuses sur ses cartes graphiques pour ordinateurs portables. Ensuite, la firme a annoncé que ce défaut de fabrication devrait lui coûter entre 150 millions et 200 millions dollars et ses prévisions de ventes seraient revues à la baisse en atteignant 875 millions de dollars contre 1 milliard initialement pronostiqué par les analystes. Il en résulta un cours d'action en chute de 22%.
Lors d'une conférence donnée par Elsa, une nouvelle feuille de route concernant les prochaines sorties de puces NVIDIA a été dévoilée. Celle-ci laisse entendre que NVIDIA proposera une version 55 nanomètres de son GTX 260, cette version porterait le nom de code GT 206. Elle serait attendue pour la fin de l'année / début de l'année prochaine.
La filiale graphique d'AMD annonce aujourd'hui le lancement de ses nouvelles cartes graphiques milieu de gamme basées sur l'architecture des puces RV770 que l'on retrouve notamment dans les Radeon HD 4850/4870. Baptisée Radeon HD 4670, la nouvelle venue, nom de code RV730, reste gravée en 55nm par TSMC et dispose de 320 processeurs de flux en plus d'être compatible avec DirectX 10.1.
Après s'être rapidement montrée lors d'une preview estivale (voir ce test), la dernière carte graphique haut de gamme d'AMD est maintenant disponible, et ce, depuis quelques semaines déjà. Avec le Radeon HD 4870 X2, AMD utilise une recette déjà bien connue puisque le fondeur réunit deux puces graphiques sur une seule et même carte en vue d'en faire la carte la plus rapide du moment. Succédant au Radeon HD 3870 X2, le nouveau modèle tire parti des dernières puces d'AMD, les RV770 que l'on retrouve en temps normal dans les plus courants Radeon HD 4850 et Radeon HD 4870.
Après s'être rapidement montrée lors d'une preview estivale (voir ce test), la dernière carte graphique haut de gamme d'AMD est maintenant disponible, et ce, depuis quelques semaines déjà. Avec le Radeon HD 4870 X2, AMD utilise une recette déjà bien connue puisque le fondeur réunit deux puces graphiques sur une seule et même carte en vue d'en faire la carte la plus rapide du moment. Succédant au Radeon HD 3870 X2, le nouveau modèle tire parti des dernières puces d'AMD, les RV770 que l'on retrouve en temps normal dans les plus courants Radeon HD 4850 et Radeon HD 4870.
NVIDIA créait la surprise en annonçant, lors de la publication de ses résultats trimestriels (voir NVIDIA annonce une perte trimestrielle), une charge exceptionnelle de plusieurs millions de dollars suite à la découverte de défectuosités dans ses puces graphiques. A l'origine, NVIDIA indiquait qu'un matériau utilisé dans la fabrication des puces en question réduisait leur durée de vie, alors que le problème semblait concerner exclusivement les puces graphiques pour ordinateurs portables, les G84 et G86 alias GeForce 8400/8600M. Très vite pourtant, certains analystes ont craint que le problème soit plus vaste que ne l'admet NVIDIA. Pour autant, la firme au caméléon a toujours réfuté que ses puces graphiques pour PC de bureau soient également affectées par le problème.
Pour faire une rentrée en beauté, NVIDIA a publié ce jour de nouveaux pilotes beta officiels, preuves que les développeurs de la firme au caméléon ont oeuvré cet été. Estampillés 177.92 beta, ces nouveaux pilotes viennent améliorer les performances dans un certain nombre de jeux 3D. Voici une petite liste des gains que l'on peut espérer par rapport aux pilotes 175.19 WHQL :
Alors que le nVision 08 vient tout juste de s'achever, NVIDIA procède à une annonce surprise concernant la prise en charge de sa technologie de rendu multi-GPU SLI sur les futures plate-formes Intel. Lors de nos divers entretiens avec les représentants de la firme au caméléon, il nous avait été en effet confirmé que NVIDIA ne détient pas de licence QPI (voir Nvision 08 : Chipsets Intel, GPU en 55nm, vues sur Atom), une licence pourtant indispensable à l'élaboration de chipsets nForce pour les futurs processeurs Intel Core i7 en Socket 1366. De fait, seule l'utilisation de puces nForce 200 sur les cartes mères Intel X58 peuvent permettre l'activation de la technologie SLI. C'est du moins ce que martelait depuis plusieurs mois NVIDIA à ses différents partenaires.
Tout juste annoncé par nVidia, en marge du salon Nvision 2008, le GeForce 9400 GT, dernière référence de la firme, est d'ores et déjà adopté par quelques fabricants dont MSI, Point of View ou Galaxy, qui présentent leurs premiers modèles. Rappelons que les cartes 9400 GT adoptent le format PCI-Express 16x, prennent en charge DirectX 10 et se dotent du moteur PureVideo HD. En standard, le 9400 GT embarque 16 processeurs de flux cadencés à 1400 MHz et affiche une fréquence de fonctionnement de 550 MHz pour le GPU. Il se dote par ailleurs en standard de 512 Mo de mémoire vidéo, interfacée sur 128 bits et fonctionnant à 400 MHz.
Difficile de faire l'impasse sur l'un des phénomènes marquants de ce nVision 08, à savoir la prolifération de démonstrations technologiques autour de la 3D stéréoscopique. Jen-Hsun Huang a d'ailleurs donné le ton dès la conférence d'ouverture en présentant une démo NVIDIA en rendu 3D stéréoscopique ainsi que le jeu Age Of Empires III, lui aussi en rendu stéréoscopique. C'est dans cette optique que l'on pouvait apercevoir sur le salon de nouveaux écrans ViewSonic et Mitsubishi stéréoscopiques à utiliser en conjonction avec les lunettes NVIDIA, des lunettes dotées de la technologie GeForce Stereoscopic 3D. Techniquement, les lunettes sont composées, non pas de verres polarisés, mais de mini-écrans LCD synchronisés avec le PC au moyen d'une liaison infra-rouge afin de s'assurer que la bonne image est envoyée à chaque oeil et que la résolution ne se dégrade pas.
Le nVision 08 permet au géant des logiciels, Microsoft, de présenter dans les grandes lignes les nouveautés de la future version de son API graphique, DirectX. Succédant logiquement à DirectX 10 et 10.1, DirectX 11 se veut être une version majeure de DirectX sans toutefois tout bouleverser comme DirectX 10. Ainsi Microsoft insiste-t'il sur le fait que DirectX 11 est une simple surcouche qui fonctionnera sur les matériels DirectX 10 existants. Naturellement, dans ce cas, les nouveautés seront moins évidentes.
Après nous être entretenu avec Jen-Hsun Huang et Chris Malachowsky, les co-fondateurs historiques de NVIDIA, nous avons pu discuter avec Jeff Fisher, vice-président de l'unité GPU et MCP de la firme de Santa-Clara. L'occasion de faire le point sur l'avenir des chipsets nForce pour processeurs Intel mais aussi d'évoquer le passage en 55nm des puces graphiques haut de gamme :
A quelques jours de l'ouverture du nVision, le premier salon organisé par NVIDIA, les rumeurs allaient bon train sur la possibilité de voir ce dernier annoncer un processeur x86. La rumeur n'est du reste pas nouvelle puisque cela fait plusieurs années maintenant que cette possibilité est régulièrement évoquée, particulièrement depuis le rachat d'ATI par AMD. NVIDIA n'ayant finalement fait aucune annonce de processeur x86 lors de l'ouverture du nVision, les questions à ce sujet ont été nombreuses lors des interviews. Pourtant Jen-Hsun Huang avait démarré son keynote en indiquant clairement : « Nous ne croyons pas que remplacer le CPU soit une bonne stratégie. Le compléter avec une puce graphique est bien meilleur ».
Alors que tout allait bien ces dernières années pour la firme au caméléon, la situation s'est subitement dégradée, et ce en l'espace de quelques semaines, avec d'une part le retour sur le devant de la scène d'un concurrent de poids, AMD, d'autre part l'accentuation de la pression mise par Intel, et surtout la publication de comptes trimestriels plombés par une charge exceptionnelle de 200 millions de dollars. Charge qui trouve son origine dans la découverte d'un grave problème affectant la fiabilité des puces graphiques GeForce 8400 et 8600M utilisées dans nombre d'ordinateurs portables. Bien que NVIDIA ait admis publiquement le problème, en provisionnant une charge censée couvrir le coût généré par l'échange ou la réparation des ordinateurs portables défectueux, la firme s'est toujours refusé à communiquer les modèles de puces exactement incriminés par ce problème, un problème qui trouverait ses origines dans l'un des matériaux utilisés lors de la fabrication et qui se traduit pour l'utilisateur par un affichage corrompu.
A l'occasion du nVision 08, le salon des technologies de l'informatique visuelle, NVIDIA présentait sur son stand quelques logiciels grands publics en cours de développement et tirant parti de CUDA. Rappelons que CUDA permet d'utiliser la puce graphique à d'autres fins que le simple affichage de polygones pour par exemple effectuer des calculs génériques. L'idée étant d'utiliser la puce, comme une sorte de co-processeur. Parmi les logiciels non professionnels que l'on pouvait apercevoir sur le salon, quelques-uns retenaient l'attention notamment dans le domaine vidéo.
En marge du nVision 08, NVIDIA annonce le lancement d'une nouvelle référence dans sa gamme de cartes graphiques entrée de gamme avec la sortie du GeForce 9400 GT. Au format PCI-Express 16x, la carte supporte DirectX 10 et se dote du moteur PureVideo HD. Simple slot, et relativement compacte, la GeForce 9400 GT adopte en sortie un connecteur DVI et un connecteur VGA. Côté caractéristiques, NVIDIA fait état d'une puce avec 16 processeurs de flux et des fréquences de fonctionnement de 550 MHz pour le GPU et 1400 MHz pour ses processeurs de flux.
Bien que NVIDIA se refuse à annoncer le moindre nouveau produit à l'occasion du nVision 08, la firme au caméléon discute tout de même de ses technologies, présentes et futures. C'est ainsi que Tony Tamasi, l'un des vices-présidents de NVIDIA en charge notamment du développement, a dressé un bilan des évolutions intervenues au cours des dernières décennies en matière de GPU. Rappelons en effet que nous sommes passé d'un modèle de puce à fonction fixe, à un modèle de puce partiellement programmable (DirectX 8.0 et ses Pixel Shaders) pour finalement arriver à des puces bien plus flexibles et largement programmables avec en prime une architecture unifiée.
Le premier salon des technologies de l'informatique visuelle, salon initié par NVIDIA, s'est ouvert aujourd'hui dans le coeur de la Silicon Valley, à San Jose. Dans sa conférence d'ouverture, le co-fondateur et actuel directeur général de NVIDIA, Jen-Hsun Huang, a dressé un panorama des applications rendues aujourd'hui possibles grâce à ce qu'il convient dorénavant de qualifier de technologies de l'informatique visuelle.
La firme au caméléon, NVIDIA, donnait aujourd'hui le coup d'envoi de sa toute première conférence à large échelle, le nVision 08. Se déroulant à San Jose, en Californie, l'événement se destine à tous les publics qu'il s'agisse des joueurs, le coeur de cible de Nvidia, des professionnels de la 3D, du grand public ou encore des professionnels de secteurs aussi variés que l'imagerie médicale, la recherche spatiale, etc. Décrit comme le premier forum de l'informatique visuelle (voir à ce sujet notre récente interview d'Alain Tiquet), le nVision 08 se veut être un événement majeur pour l'industrie de la 3D, bien que des acteurs de taille comme AMD ou Intel ne soient pas représentés.
Il y a un an, NVIDIA revoyait à la hausse les spécifications de sa GeForce 8800 GTS pour améliorer son positionnement dans sa gamme de puces. Ainsi, son nombre d'unités de calculs de shaders était passé de 96 à 112.
L'IDF est l'occasion pour les partenaires d'Intel d'exposer leurs nouveaux produits à commencer par LucidLogix, une firme jusqu'à présent inconnue il faut bien l'avouer. A l'instar d'ATI ou de NVIDIA, LucidLogix est une compagnie fabless qui ne dispose donc pas d'usine. Du reste, pour terminer cette rapide présentation de Lucid Technology, il nous faut préciser qu'Intel Capital a notamment investi dans cette société. Mais revenons à l'Hydra Engine, le produit présenté par Lucid à l'occasion de cet IDF. Il s'agit d'un contrôleur PCI-Express, de première génération, d'un genre un peu particulier puisqu'il vise à permettre l'utilisation simultanée de deux cartes graphiques sans passer par les technologies propriétaires comme le SLI ou le CrossFire. Pour cela, Lucid a donc du développer un pilote qui s'insère entre le pilote graphique et l'API graphique. Du reste, la technologie de Lucid fonctionne parfaitement avec les derniers titres DirectX 10, nous dit-on.
Le fabricant de cartes graphiques Palit a présenté aujourd'hui la Radeon HD 4870 Sonic Dual Edition, équipée d'un système de refroidissement à deux ventilateurs et d'un double BIOS. Ces spécifications particulières ont en ligne de mire l'overclocking. Ce dernier n'est pas mis en action par un logiciel mais se fait en dur, au niveau de la carte elle-même, au moyen d'un interrupteur qui fait passer la carte d'un BIOS à l'autre. Ainsi la carte fonctionne par défaut, en Sonic Mode, à 750 MHz pour le GPU et 950 MHz pour la mémoire GDDR5. Le smart switch permet de passer en Turbo Mode, ce qui fait fonctionner le GPU à 775 MHz et la mémoire à 1 GHz. Bien que le système présente l'avantage de ne nécessiter aucun logiciel, l'overclocking n'est pas dynamique et il faut redémarrer la machine pour pouvoir passer d'un mode à l'autre. Le système de double ventilation permet de refroidir correctement l'ensemble de la carte, celui de gauche, régulé, se chargeant du processeur et de la mémoire, celui de droite se chargeant quant à lui de l'alimentation à quatre phases.
ATI / AMD ont mis en ligne la nuit dernière de nouveaux pilotes pour les cartes à base de puces ATI : les Catalyst 8.8. Outre les nombreuses corrections de bugs, cette nouvelle mouture intègre des possibilités renouvelées pour Avivo (correction de gamma / contraste pour les Radeon HD 4800) avec qualité vidéo optimisée.
Quelques jours après avoir été officialisé, l'OpenGL 3.0 est d'ores et déjà pris en charge par certaines solutions NVIDIA. La firme au caméléon s'est effectivement fendue d'un petit communiqué pour annoncer l'arrivée de premiers pilotes beta capables de tirer profit de l'OpenGL 3.0. Compatibles Windows Vista et Windows XP, ces pilotes se limitent toutefois à certaines solutions GeForce et Quadro.
D'ici quelques semaines, NVIDIA devrait ouvrir les portes du NVISION 2008, son tout premier salon destiné aux technologies de l'informatique visuelle. Alors que nous vous proposerons une couverture de ce salon, en direct depuis la Silicon-Valley à partir du 25 août prochain, nous avons pu nous entretenir avec Alain Tiquet, de NVIDIA, au sujet du NVISION et de ses ambitions.
Il y'a encore quelques années, l'idée de faire tourner Windows nativement sur un Mac était complètement farfelue, tout comme l'était le passage à des processeurs x86, le PowerPC étant considéré comme la grande force de la plate-forme. Il était évidemment possible de faire tourner Windows en émulation, grâce à Virtual PC de Connectix, racheté depuis par Microsoft, mais les besoins en ressource de l'émulation d'un processeur x86 sur une architecture PowerPC étaient tellement importants que les performances très limitées interdisaient tout usage autre qu'occasionnel. La donne a changé avec la sortie des premiers Mac équipés de processeurs Intel en janvier 2006, quelques mois après une annonce choc qui avait pris tout le monde de cours. Très vite, quelques courageux développeurs se sont lancé le défi de faire tourner une version de Windows sur un Mac.
NVIDIA a annoncé ses derniers résultats financiers pour le deuxième trimestre. La firme au caméléon a effectivement communiqué un chiffre d'affaires de 892,7 millions de dollars, en baisse de 5% par rapport à celui du deuxième trimestre 2007 (935,3 millions de dollars US).
